Aldebert décline son spectacle Enfantillages en mode métal avec « Helldebert Enfantillages 666 » : shredding, tapping, flammes, doigts de métal : tout y est !

La rectte d’Aldebert fonctionne toujours aussi bien : il signes des textes naifs, drôles, parfois émouvants, et s’entour d’invités prestigieux. Jusqu’ici le prestige se cantonnait à la chanson française avec Bénabar, Louis Chedid ou le fiston, Alain Souchon ou le fiston, Grand Corps Malade etc. Pour « Helldebert », on change de registre avec Igor et Max Cavalera (Pantera) , Yarol Poupaud, Serj Tankian (System of A Down) et même Flétus de Ultra Vomit !

Et sur scène… eh bien ça suit assez logiquement. Il est accompagné à la guitare électrique « Guitar Hero » par Nicolas Alberny, guitariste de Gorod. A la batterie c’est un autre Nicolas, Bastos celui là, prof de batterie et ex membre de divers groupes de métal extreme dont Dagoba. Christophe Darlot, collaborateur historique d’Aldebert est aux claviers tandis qu’à la basse, il s’agit aussi d’un vieux compagnon de route en la personne d’Hubert Harel.
Mais ce n’est pas tout. Sur les écrans en videos, mais aussi à la basse sur un morceau et au chant sur un autre, il y a les enfants d’Aldebert.

Ce dernier déborde d’énergie, toujours chaussé de ses baskets à roulettes, et switchant de guitares entre chaque morceau. Il revisite sa discographie à la sauce rock sur certains titres comme  » Pour louper l’école » ou « Ca vaut des points », mais c’est clairement le dernier album qui est mis à l’honneur, et même si les guests ne sont pas présents, forcément, ce n’est pas « La Parisienne », le groupe et Guillaume Aldebert font largement oublier cela et démontent le Zénith, aidés par une horde de mini mélalleux futurs headbangers…

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